Mercredi, le gouvernement a favorisé l’emploi des Général de brigade du Corps militaire d’intervention au colonel jusqu’alors intervenant María Luisa Manzanera Canton, tel que publié hier par le Journal Officiel de l’État (BOE). De cette manière, les Forces armées ont déjà avec cinq femmes qui ont réussi à réaliser généralisation. Une promotion, « sur proposition du ministre de la Défense et après délibération en Conseil des ministres », comme l’explique la disposition publiée.
Cependant, à cette occasion, le ministère de la Défense n’a pas annoncé cette promotion, qui n’a été connue que par sa publication au BOE, même si l’un des défis de Marguerite Robles depuis son arrivée à ce portefeuille, il a été chargé de promouvoir le présence féminine dans les armées et dans la marine.
La hausse des pommier fait partie d’une liste de huitdans lequel elle est la seule femme et le reste sont des hommes (deux promotions à lieutenant générall, deux à major général et autres trois au général de brigade).
À l’heure actuelle, seules cinq femmes militaires ont réussi à atteindre le grade d’officier général des forces armées. Les femmes précédentes qui ont été promues au général étaient Patricia Ortega du Corps des ingénieurs polytechniques (2019); Begoña Aramendíadu Corps Juridique Militaire (2021) ; María Teresa Gordillo, du Corps Militaire d’Intervention (juillet dernier), et Loreto Gutiérrez Hurtado, de l’Air Force Corps of Engineers (août), récemment nommé directeur de la sécurité intérieure en remplacement du général Miguel Ángel Ballesteros. Ortega est le seul général de divisionl’emploi le plus élevé atteint jusqu’à présent par une femme.
13,1% de femmes
De nos jours, dans les Armées et dans la Marine il y a un peu plus 15 800 femmesce qui signifie un 13,1% du total de troupes (environ 120 600). Un pourcentage qu’ils ont atteint après stagnant depuis plus de trois décennies dans le pas qui va de 12 à 13%. En 2022, il est resté à 12,99%.
Parmi eux, en plus des cinq généraux, il y en a d’autres 52 qui occupent les emplois de colonel (Armée et Air) ou capitaine de navire (Marine)les derniers travaux du échelle d’officier avant de devenir général. A cette échelle, il y a plus de 1 770 femmes, soulignant le plus que 680 capitaines ou lieutenants de navires.
Pendant ce temps, dans le les sous-officiers sont au nombre de 1.813, plus que 700 sergents ou 389 brigades. C’est à cette échelle que la présence féminine a le plus augmenté au cours de la dernière décennie, passant de 5,9 % à 11,4 %. Et dans le Troupes et marins C’est celui où la présence féminine est la plus importante (11 760 femmes), avec près de 6 300 soldats et marins et plus de 3 700 caporaux.
Et avec eux tous, 455 étudiants dans les différents centres éducatifs, parmi lesquels le Princesse Eléonoreen deuxième année à l’Académie Générale Militaire de Saragosse en tant que dame cadette. Sa présence est considérée au ministère de la Défense comme un choc afin de normaliser davantage la présence féminine dans les forces armées et d’en attirer davantage.
Parmi toutes les femmes militaires, la majorité (54%) Appartient à Arméeoù il y a quelques 8 635, qui représentent 11,5% de ses 75 200 soldats. Dans le Aviation il y a 3 025, 14,3% de ses 21 216 membres. Pendant ce temps, dans le Marine le nombre de femmes s’élève à 2 936, soit 14% du total (21 000). Et enfin, dans le Corps communs C’est là que le pourcentage est le plus élevé puisque sur ses 3 218 personnels, 37,6% sont des femmes (1 211).