Inquiétude maximale pour Dani Alves : la prison obligée d’agir

Dani Alves reste emprisonné à Brians 2 où il attend une sentence qui pourrait être connue dans quelques jours. Le procès du footballeur Dani Alves accusé d’avoir agressé sexuellement une jeune femme dans la discothèque Sutton a été renvoyé pour jugement après la conclusion du procès devant le tribunal de Barcelone pour un délit « d’agression sexuelle avec accès charnel ». Une épreuve qui a été très dure pour le footballeur dont le séjour en prison a fait des ravages.

Le tribunal dispose de 20 jours – à compter de la fin du procès, le 7 février – pour se prononcer et prononcer la peine. Le parquet demande une peine de neuf ans de prison contre le footballeur brésilien, peine que le parquet privé étend à 12 ans. Le procès a pris fin, mais pas avant la tenue d’une brève « visionnage » au cours de laquelle la défense du footballeur a de nouveau exigé sa libération immédiate, ce que le tribunal tranchera dans les prochains jours, avant de prononcer la sentence. Une liberté qui a déjà été rejetée jusqu’à trois fois.

Alves Il est à quelques jours de connaître son sort criminel et, en prison, son état mental suscite une inquiétude maximale. L’ancien footballeur de 40 ans est sous stricte surveillance par la sécurité de Brians 2 à Barcelone, en raison d’une possibilité de suicide. C’est du moins ce qu’a confirmé un compagnon de cellule. « Des mesures extrêmes ont été prises. À la suite de ce procès, le ralentissement l’a frappé. Comme déprimé, découragé. Les éducateurs et les fonctionnaires aiment le couvrir. De peur qu’il se coupe ou qu’il essaie de faire des choses folles ou des histoires comme ça. « Ils lui ont appliqué ce protocole de suicide dès le lendemain du procès », a déclaré un détenu lors d’un témoignage exclusif à l’émission « Fiesta ».

Les autorités pénitentiaires ont adopté un protocole en trois étapes : « Évaluation des risques », « Mesures de sécurité » et « Programmes de soutien ». Dani Alves évalue constamment son état et la surveillance s’est renforcée pour contrôler l’accès aux objets dangereux. On lui a également proposé un soutien émotionnel, une thérapie individuelle et une participation à des groupes d’entraide.

Le plan d’évasion

Ce détenu a également révélé que l’ancien culé avait bien eu l’idée de s’enfuir dans son pays natal dès qu’il aurait obtenu sa libération conditionnelle ou du moins c’est ce qu’il a annoncé en exclusivité dans l’émission ‘Tarde AR’. Silvia Sálamo était chargée de raconter ce qui s’était passé, puisqu’elle avait pu parler avec le compagnon de cellule d’Alves. Comme il le dit, Le footballeur lui aurait fait part à plusieurs reprises de son intention de se rendre au Brésil dès qu’il aurait obtenu la liberté provisoire.

Sa liberté lui a été refusée à trois reprises, depuis que son ancien partenaire – apparemment connu – a même alerté les autorités pénitentiaires de ces projets.

Et le « cas Robinho » est tombé comme une pierre sur Dani Alves dès le premier instant. L’affaire de viol pour laquelle Robinho a été reconnu coupable – qui a été condamné à 9 ans de prison en Italie et est toujours libre au Brésil – a conduit les Mossos à élaborer un plan secret pour l’arrêter et le parquet à l’utiliser comme argument dans chacune des affaires. … recours déposés contre sa liberté provisoire.

Un document du Bureau du Procureur souligne que la situation dans laquelle se trouvait l’ancien attaquant Robinho a été décisive pour que le défenseur de 39 ans reste détenu.

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