La « SEPI digital » canalisera les opérations en cours comme celle du Centre Interuniversitaire de Microélectronique (IMEC), qui sera située à Malaga ; la de Broadcom en Espagne et de Cisco à Barceloneen plus d'autres nouveaux qui sont « en préparation », mais qui sont confidentiels, tout comme ils ont été transférés.
Le ministre de la Transformation numérique et de la Fonction publique, José Luis Escriva, a évoqué ce jeudi au Sénat cette entreprise publique, la Société espagnole de transformation technologique (SETT) – connue familièrement sous le nom de « SEPI numérique » –, qui servira à orienter divers investissements, parmi lesquels celui de Perte Chip, qui envisage plus de 12 milliards d'investissements publics. En outre canalisera les investissements du Next Tech Fund, qui prévoit un investissement de 4 milliards destiné aux entreprises à forte composante d'innovation technologique ; et ceux du Fonds Hub Audiovisueldoté de 1,7 milliard pour le secteur audiovisuel.
Comme l'a déclaré le ministre, « Il y a déjà des opérations qui vont être les premières canalisées, qui sont redirigées », faisant référence à celle de l'IMEC, qui va ouvrir son deuxième centre mondial à Málaga, fruit d'une collaboration avec la Commission et la Mairie de Málaga, et qui sera signé « dans les prochains jours ». Il a également fait allusion à l'investissement du géant américain BroadcomQuoi travaille à l'installation d'une usine de substrats (un des composants de la puce) en Espagne, sans préciser où, déjà Cisco, qui a annoncé un centre de conception de puces à Barcelone. Dans les « tuyaux » se préparent de « nouvelles opérations », qui sont en cours d'élaboration, qui nécessitent une collaboration publique et privée, mais que le ministre n'a pas avancées parce qu'elles exigent de la « confidentialité ».
Escriva a expliqué ce jeudi à la Commission de transformation numérique du Sénat, deux jours après que le Conseil des ministres a autorisé le traitement urgent du décret royal qui réglementera les conditions de transformation de l'entreprise SEMyS (déjà existante et gérée par Perte Chip) en Entité commerciale publique Société espagnole de transformation technologique et par laquelle son statut sera approuvé. Il est poursuivi, comme il l'a dit, regrouper ce qui a été créé lors de la dernière législature en une seule administration et disposer d'équipes spécialiséesnon seulement dans la réalisation d'audits technologiques, mais aussi dans la structuration financière des opérations.