Après l'échec des élections de dimanche dernier et la démission de Yolanda Díaz, il n’y a aujourd’hui aucun allié de Sumar qui garantisse son intégration, mais ils promettent seulement des formules de coopération. Donc, Plus Madrid et Izquierda Unida ont profité de leur départ pour marquer les limites de la nouvelle relation politique qui doit être travaillée à gauche.
Pendant ce temps, du côté de l'Exécutif de Pedro Sánchez, ils regrettent que la démission de Díaz puisse alimenter le discours de l'opposition, qui tente de dessiner une coalition en « décomposition », et ont donc conspiré pour transférerr une image de « stabilité » et de forceface à un nouveau revers qui fragilise la gauche.
Avec l'approbation de la loi d'amnistie et le futur gouvernement de Catalogne en toile de fond, le Congrès vivait ce mercredi sa énième confrontation entre le gouvernement et l'opposition. Les sujets brûlants : les transferts vers les indépendantistes et le L'avenir incertain de Sumar.