Une nouvelle étude est déchiffrée ce que disent les corbeaus sur la santé des plages de Porto Rico

Il se coupe la gorge. Il coule le nez. Son corps lui donne des signes précoces de ce qui s'en vient, que ce soit l'allergie, le monga ou la grippe. Ces symptômes peuvent être considérés comme des bioindicateurs, c'est-à-dire des signaux biologiques qui lui font savoir que quelque chose (dans ce cas, sa santé) commence à être affecté.

Il en va de même pour la nature. Il existe différentes espèces d'animaux, de plantes et de micro-organismes, entre autres, qui agissent comme des bioindicateurs. L'abondance, la santé et la reproduction de ces bioindicateurs permettent aux scientifiques de savoir la santé de cette région ou de cette écosystème.

Les zones côtières belles et biodiverses de Porto Rico attirent les baigneurs, les affaires, le bruit, les voitures et autres activités humaines qui peuvent les avoir un impact négative. Comment déterminer la santé de ces zones et quand intervenir pour les protéger? Il y a un organisme que beaucoup connaissent, mais que peu imaginent est un bioindicateur pour précisément ces fins: les centres.

C'était détaillé Francisco Torres Torres, Ana González Colón, Paola Negrón Moreno, Naishka Rivera Rosado et Enrique Cruz Reyesétudiants du Université de Porto Rico (UPR) à Cayeydirigé par le biologiste María de Jesús Burgos.

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